SITE] Le Light painting selon Zeblog2Latribu
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Le Light painting selon Zeblog2Latribu
Pratique encore peu connue et peu répandue, le Space Writing (aussi appelé LightGraff ou calligraphie lumineuse) est un art graphique qui associe graffiti et photographie.
A l'origine, une même base : l'écriture. Le mot Graffiti vient de l'Italien "graffito" qui désigne un stylet pour écrire. Photographie a une double étymologie : "photo" = "qui utilise la lumière" et "graphie" = "qui écrit, qui aboutit". Ainsi la traduction littérale de photographie est "écrire avec la lumière". Le Space Writing, c'est la rencontre de deux modes d'écriture (photo + graffiti) pour dessiner un nouvel espace lumineux, un nouvel espace de création.
Cette discipline artistique est née au début du siècle avec Gjon Mili, photographe Albanais (1904-1984). Dès les années 30, en collaboration avec le professeur Edgerton du MIT, il travaille sur l'utilisation du flash et du stroboscope pour capter le mouvement et la beauté du fugace. Il photographia de nombreux athlètes, musiciens, danseurs tout au long de sa carrière. Il collabora notamment avec Picasso : dans son atelier de poterie de Vallauris, Picasso s'amusa, avec sa lampe de poche, à dessiner un centaure dans l'obscurité. Gjon Mili était là pour figer cet instant de poésie lumineuse.
Aujourd'hui, plusieurs graffeurs se dirigent vers cette expression et travaillent la nuit à écrire des mots de lumière. Armés de lampes et d'un appareil photo, ces "spacewriter" graffent le vide et créent des oeuvres éphémères.
Saisir le mouvement, le fugace, l'éphémère, l'impalpable.
Photographier l'oeuvre en cours de création.
Créer une oeuvre avec pour seuls supports, le mouvement et la lumière.
Source : Zeblog2latribu
Pratique encore peu connue et peu répandue, le Space Writing (aussi appelé LightGraff ou calligraphie lumineuse) est un art graphique qui associe graffiti et photographie.
A l'origine, une même base : l'écriture. Le mot Graffiti vient de l'Italien "graffito" qui désigne un stylet pour écrire. Photographie a une double étymologie : "photo" = "qui utilise la lumière" et "graphie" = "qui écrit, qui aboutit". Ainsi la traduction littérale de photographie est "écrire avec la lumière". Le Space Writing, c'est la rencontre de deux modes d'écriture (photo + graffiti) pour dessiner un nouvel espace lumineux, un nouvel espace de création.
Cette discipline artistique est née au début du siècle avec Gjon Mili, photographe Albanais (1904-1984). Dès les années 30, en collaboration avec le professeur Edgerton du MIT, il travaille sur l'utilisation du flash et du stroboscope pour capter le mouvement et la beauté du fugace. Il photographia de nombreux athlètes, musiciens, danseurs tout au long de sa carrière. Il collabora notamment avec Picasso : dans son atelier de poterie de Vallauris, Picasso s'amusa, avec sa lampe de poche, à dessiner un centaure dans l'obscurité. Gjon Mili était là pour figer cet instant de poésie lumineuse.
Aujourd'hui, plusieurs graffeurs se dirigent vers cette expression et travaillent la nuit à écrire des mots de lumière. Armés de lampes et d'un appareil photo, ces "spacewriter" graffent le vide et créent des oeuvres éphémères.
Saisir le mouvement, le fugace, l'éphémère, l'impalpable.
Photographier l'oeuvre en cours de création.
Créer une oeuvre avec pour seuls supports, le mouvement et la lumière.
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Germainemma- Admin
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